Le récit de prison comme témoignage sur l’espace hostile : Barreaux de Mohammed Al Bossaty, Le Baiser de la femme-araignée de Manuel Puig et Le dernier jour d'un condamné de Victor Hugo | ||||
| مجلة كلية الآداب - جامعة القاهرة | ||||
| Volume 2020, Issue 10, October 2020 | ||||
| DOI: 10.21608/jarts.2020.135401 | ||||
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| Author | ||||
| Mona Saraya | ||||
| Professeur-adjoint Faculté des Lettres- Université du Caire | ||||
| Abstract | ||||
| This study proposes an interpretative reading of three novels of prison belonging to three different cultures, considered as a testimony on hostile space. These selected novels are placed in the context of a left militancy and they engage different historical periods that are added to the initial frame of the events. In the first phase, we have treated the social and poetical aspect as a testimony on the carceral world. In the second phase, we analyze how the authors organize History and fiction. In conclusion, we have stressed on the mythological dimension of the hostile space : it is the symbol of the primordial cavern considered as the world of shadows. RésuméL’objectif de cette étude consiste à proposer une lecture interprétative de trois récits de prison appartenant à trois cultures différentes, envisagés comme témoignage sur l’espace hostile. Ces récits choisis s’inscrivent dans le cadre d’un militantisme de gauche et ils mettent en jeu plusieurs époques historiques qui se greffent sur le cadre initial de l’action. Dans un premier temps, nous avons abordé l’aspect social et poétique comme témoignage sur le monde carcéral. Dans un second temps, nous avons étudié comment se fait l’agencement entre Histoire et fiction. En conclusion, nous avons souligné la dimension mythologique de l’espace hostile : elle est le symbole de la caverne primordiale considérée comme le monde des ombres. | ||||
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