Le corps comme voie d’expression chez Artaud et comme voix de l’inconscient chez Adamov | ||||
بحوث فى تدريس اللغات | ||||
Article 3, Volume 16, Issue 16, July 2021, Page 63-91 PDF (1.2 MB) | ||||
Document Type: المقالة الأصلية | ||||
DOI: 10.21608/ssl.2021.69579.1064 | ||||
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Author | ||||
Marguerite Mimi Maurice | ||||
جامعة عين شمس | ||||
Abstract | ||||
A l’opposé d’Artaud, Adamov croit plus au texte qu’à la représentation théâtrale qui si elle est un moyen d’exposer le thème du texte, elle a le défaut de représenter trop de personnages. Les descriptions d’Adamov et sa vision du décor sont purement réalistes loin des fantasmes d’Artaud qui a décidé une fois pour la représentation de la pièce La Pâtissière du village d’Alfred Savoir de remplacer les acteurs par des mannequins de cinq mètres de haut qui se déplacent sur un air de musique orientale lesquels pourraient « avoir un attribut et l’un d’entre eux porter par exemple l’arc de triomphe sur ses épaules» ! Alors que le théâtre d’Adamov est par contre un théâtre du concret, de la réalité et des rêves : la réalité des temps, des lieux, des personnages et celle du langage Toutefois, les deux dramaturges présentent un théâtre de violence physique, un théâtre de cruauté où les personnages sont torturés, à l’image de ce qui se passe sur la scène de la vie. Artaud nous offre une nouvelle interprétation de l’essence du théâtre qui demeure celui de la cruauté . | ||||
Keywords | ||||
adamov; artaud; theatre de cruaute | ||||
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