La couronne ou la guirlande de la justification offerte au défunt ou au dieu pour le justifier | ||||
| حولية الاتحاد العام للآثاريين العرب "دراسات فى آثار الوطن العربى" | ||||
| Article 51, Volume 11, Issue 11, October 2008, Page 1-35 PDF (1.26 MB) | ||||
| Document Type: Original Article | ||||
| DOI: 10.21608/cguaa.2008.38411 | ||||
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| Author | ||||
| Salwa Kamel | ||||
| جامعة القاهرة | ||||
| Abstract | ||||
| Les couronnes, les guirlandes, et les colliers végétaux que l’on plaçait sur le corps, le cou et la tête du défunt n’avaient au-début qu’un but ornemental ; on couronnait le mort, d’après les textes, comme pour les fêtes. Mais bientôt cette ornementation florale reçut un caractère religieux ou symbolique. Le nom de la couronne et la guirlande de la justification était (mAH n mAa-xrw)[1] dans toutes les époques. La guirlande a cité probablement pour la première fois dans les textes des Pyramides sous le nom wAH n.k tp.k[2]. Dès la 22e dyn. surtout à l’époque grecque, on ne trouve presque aucune momie sans cette couronne, qu’elle soit faite de fleurs naturelles ou certainement indiquée en couleurs[3]. La couronne symbolise le nouvel caractère qui a remarqué victorieusement l'expression du jugement[4]. [1] Wb II, 31 (5); P.Wilson, OLA 78, (1997), I, 397. [2] LÄ III, 764. Pyr.1213 d. [3] L.Keimer, « L'arbre Tr.t est il réellement le saule égyptien (Salix Safsaf Forsk) ? », dans : BIFAO 31, (1931), 206. R.Germer, "Weide", dans: LÄ VI, (1986), 1164. [4] Ph.Derchain, CdE 30, 231 sq. = D.M.Mostafa, « L’usage cultuel du bouquet et sa signification symbolique », dans : Hommages à Jean Leclant, BE 106/4, (1994), 244. | ||||
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